sketched out during Annual Clown Week (I didn’t even know that was a thing) and finished today 08/25.
I picked out [this design] from the Portfolio of @Monathetrampire on Twitter,
they make really appealing design decisions that are literally fun to draw.
it looks like this character belongs to @FaePudding, but Jojo’s rendition is what I know them from.
at the time of publishing, they offer commissions. You should buy one, or five. Bring your best ideas.
08082024//.clip source file via MEGA
Work Duration: 2 Hours
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Paid for by:
dasigory
Eric Apostle
Glowie
moribund
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Earlier versions of the artwork are preserved,
corrections can be toggled via layers
Les feuilles tombent, une danse mourante Cramoisi, or, dans une transe sans soleil Le vent murmure, un soupir de deuil Désolée, sous un ciel de plomb
Le froid de l’appareil portable, un cœur gelé Seul, dans l’ombre, déchiré L’étreinte de la solitude, une caresse froide L’abîme du désespoir, la détresse d’une âme
La lumière du soleil s’estompe, un monde en souffrance La mort de la nature, une scène obsédante Miroir du vide intérieur, invisible
Le froid de l’appareil portable, un coeur gelé Seul, dans l’ombre, déchiré L’étreinte de la solitude, une caresse froide L’abîme du désespoir, la détresse d’une âme
Les souvenirs s’estompent, comme les feuilles qui tombent Doux-amer, le cœur pleure Amour perdu, un refrain obsédant Dans le chagrin de l’automne, je reste
Le froid de l’automne, un coeur gelé Seul, dans l’ombre, déchiré L’étreinte de la solitude, une caresse froide L’abîme du désespoir, la détresse d’une âme
Dans la tombe de l’automne, mon âme dort Perdue à jamais, dans une nuit sans fin Cœur douloureux, dépourvu de lumière
Les feuilles tombent, une danse mourante Cramoisi, or, dans une transe sans soleil Le vent murmure, un soupir de deuil Désolée, sous un ciel de plomb
Le froid de l’appareil portable, un cœur gelé Seul, dans l’ombre, déchiré L’étreinte de la solitude, une caresse froide L’abîme du désespoir, la détresse d’une âme
La lumière du soleil s’estompe, un monde en souffrance La mort de la nature, une scène obsédante Miroir du vide intérieur, invisible
Le froid de l’appareil portable, un coeur gelé Seul, dans l’ombre, déchiré L’étreinte de la solitude, une caresse froide L’abîme du désespoir, la détresse d’une âme
Les souvenirs s’estompent, comme les feuilles qui tombent Doux-amer, le cœur pleure Amour perdu, un refrain obsédant Dans le chagrin de l’automne, je reste
Le froid de l’automne, un coeur gelé Seul, dans l’ombre, déchiré L’étreinte de la solitude, une caresse froide L’abîme du désespoir, la détresse d’une âme
Dans la tombe de l’automne, mon âme dort Perdue à jamais, dans une nuit sans fin Cœur douloureux, dépourvu de lumière